samedi 5 janvier 2013

Les Aventuriers de la Mer, Tome 5

Tome 5 – Prison d’Eau et de Bois
de Robin Hobb
Résumé du quatrième de couverture :
Avec l’arrivée imminente du gouverneur Cosgo à Terrilville, Jamaillia exerce sur les marchands une pression de plus en plus forte. Augmentation des taxes et menaces à peine voilées divisent les grandes familles de Terrilville entre celles qui s’opposent à ce protectorat étouffant et celles qui comptent bien profiter de cette nouvelle donne. Les Vestrit se rangent sans hésitation du côté des premières, mais leur situation reste précaire. Tandis que Ronica et Keffria se battent pour éviter la honte de la ruine, Brashen leur apprend à contrecœur la capture de Kyle et de La Vivacia par les pirates, mais Althéa refuse de baisser les bras : avec l’aide d’Ambre et de Brashen naît un plan audacieux, qui implique la vivenef maudite échouée, Parangon.

Mon avis :
Il n’y a pas beaucoup d’action dans ce 5e tome, cependant beaucoup de décisions capitales ont lieu, le destin est en marche. On peut classer ce tome comme un tome charnière. Malgré cela, je l’ai beaucoup apprécié. Malta, le personnage que j’aimais le moins, est mis en face de la réalité. Il semblerait qu’enfin, elle va grandir un peu. J’ai été surprise pas son intelligence, qui était vraiment bien cachée derrière ses enfantillages et son caractère de cochon. J’ai hâte de voir le Parangon naviguer. Kennit est vraiment le personnage que je n’arrive pas à cerner. Est-il mauvais ou non ? En tout cas, c’est un manipulateur rare.
J’ai trop hâte de lire la suite. ^^

Extrait début du chapitre premier :
"Il ne s’agit pas d’un véritable nœud, se dit Shriver. Un véritable nœud se rassemble autour de son chef respecté. Ces serpents-ci étaient des égarés qu’ils avaient recueillis, un ou deux à la fois, en suivant le pourvoyeur vers le nord. Les serpents qui nageaient à leurs côtés aujourd’hui ne partageaient aucun lien fraternel avec le nœud de Maulkin. Ils ne faisaient que suivre la même source de provende. Pourtant leur compagnie était réconfortante. Par moments, certains paraissaient presque lucides."

316 pages

vendredi 4 janvier 2013

Charley Davidson, Tome 3

Tome 3 – Troisième Tombe tout droit
de Darynda Jones

Résumé du quatrième de couverture :
Moi c’est Café… euh, Charley. Et il me faut plus de café. Le sommeil c’est l’angoisse : Reyes, le fils du Diable chaud comme l’enfer que j’ai emprisonné pour l’éternité, hante mes cauchemars. Je crois qu’il me hait. Mais est-ce que les criminels accepteraient de me laisser tranquille le temps que je règle ça ? Bien sûr que non. Un type veut que j’enquête sur sa femme disparue… sauf que je sûre que c’est lui qui a fait le coup. Si j’arrive à m’injecter le café en intraveineuse, je devrais pouvoir le prouver. Sauf si mon grincheux de père revient à la charge pour me faire changer de métier parce que détective privée c’est trop dangereux. Bon d’accord, je manque de me faire tuer une fois par semaine, mais c’est pas une raison. Je suis super comme détective … et comme Faucheuse ! Café ?

Mon avis :
- Ouah, ce troisième tome a filé à la vitesse de la lumière ! Et ce n’est pas que parce que je l’ai lu très vite. Charley est très spéciale dans ce tome puis qu’on apprend dès le début que cela fait deux semaines qu’elle a pas dormi. Tout du long du roman elle est déjanté et un peu a côté de la plaque. Elle fait des raisonnement logique et tout d’un coup des pensées frappa-dingue lui viennent à l’esprit. C’est très drôle, et je ne pensais pas que l’auteur pouvait faire mieux niveau humour que les deux premiers, mais si, elle a réussi avec ce troisième.
- J’ai été très surprise de la tournure prise par la relation entre Charley et Reyes, mais cela change des histoires d’amour dont ont à l’habitude et tant mieux. De nouveaux personnages apparaissent, et il semblerait qu’ils seront là pour le tome suivant. Tome que je vais difficilement attendre. ^^

Extrait début du chapitre premier :
"La mort vient à ceux qui savent attendre.
Ainsi qu’aux autres. Alors, de toute façon...
Charlotte Jean Davidson, Faucheuse

Il y avait un clown mort assis dans mon salon. Puisque je n’aimais pas particulièrement les clowns et qu’il était bien trop tôt pour que des paroles cohérentes sortent de ma bouche, je fis semblant de ne pas le voir. Je bâillai bruyamment en me dirigeant vers la cuisine."

412 pages