♥ Tome 2 - Les Années d'Enfance ♥
de David et Leigh Eddings
Résumé un peu modifié du
quatrième de couverture :
Dans l'île des Vents, le petit
prince Geran est le dernier survivant du massacre de sa famille. C'est à
Polgara qu'incombe la tâche de cacher l'enfant et de l'instruire, car c'est de
lui et de ses descendants que naîtra Garion. Au fil des millénaires, tout se
met en place pour préparer la venue de l'Enfant de Lumière.
Mais Torak, l'Enfant des Ténèbres, sort de sa réclusion, bien décidé à donner
naissance à une nouvelle race de Dieux. Il a même choisi une épouse. Elle a
pour nom Polgara...
Mon avis :
Voilà le dernier tome de cette
saga palpitante. Et c'est Phénoménal ! ! !
Y a pas à dire, le monde du
couple Eddings surpasse celui de Tolkien, car il est plus accessible et moins
obscure, même s'il est plus naïf et innocent. Pour ma part, de toute l’œuvre,
c'est la meilleure et la plus accomplie.
Malheureusement, Leigh Eddings
est décédée il y a quelques années. Je regretterais sa touche si personnelle
aux romans de son mari. Elle contribuait aux personnages féminins et aux
relations entre les personnages. Grâce à sa touche féminine, ces romans sont
vraiment devenus vivants. Car après tout un homme ne peut pas réellement savoir
ce que pense une femme et sa façon de réagir et vice-versa.
Oh non, je viens de découvrir
que David Eddings est décédé en 2009. Plus jamais nous n’aurons
l'occasion de lire un roman de sa part. Alors Savourer ceux-ci ! J'admirais beaucoup ce couple et l'admirerais toujours.
Voilà mon petit hommage
personnel.
Extrait du début du chapitre 23
:
"Je pense que mon père n'a
pas encore compris à ce jour ce qu'Ontrose me dit au juste lors de notre
dernière conversation, en invoquant mon "devoir". En tant que membre
de la cour de Vo Wacune, le devoir m'imposait d'obéir au duc Andrion, mais
j'avais aussi des devoirs envers mon propre duché, et cette responsabilité
passait avant toutes les autres. Garteon d'Asturie avait d'étruit Wacune. Son
prochain mouvement, logiquement devait être d'envahir Erat et de tenter de le
détruire. Quand j'aurais dû y laisser la vie, j'aurais obéi au dernier ordre de
mon bien-aimé. C'était mon devoir, et le devoir était tout ce qui me
restait."
541 pages