Tome 6 - Séduction Mortelle
de Laurell K. Hamilton
★★★★
Résumé du quatrième de couverture :
A ma gauche, Richard. Le mec le
plus adorable du monde : brun aux yeux chocolat, prof de sciences. Seul
problème : une fois par mois, il se couvre de poils et hurle à la lune. A ma
droite, Jean-Claude. Le mec le plus horripilant du monde : un regard bleu marine
hypnotique, et un magnétisme sexuel démentiel. Seul problème : il a plus de
deux siècles. Face à moi, un immortel atteint par une mystérieuse maladie qui
le liquéfie sur pattes. Et quelque part derrière moi, un assassin à qui un
commanditaire inconnu a promis un demi-million de dollars s'il réussissait à
m'abattre dans les vingt-quatre heures. Que dit la sagesse populaire déjà ?
" Il vaut mieux être seule que... "
Mon avis :
J'ai enfin compris pourquoi je n'aime pas Richard. Sa personnalité est le problème, surtout quand il doit gérer sa nature surnaturelle, il est totalement contradictoire. Il veut imposer sa loi, et d'ailleurs il a de bonnes idées, mais ne fait pas ce qui faut pour assumer ses choix, ce qui fait qu'il met tout son entourage en danger. Et quand il cède enfin, il en accuse Anita. Enfin bref, je suis contente que ce tome lui permette de se rapprocher BEAUCOUP de Jean-Claude. lol
Ce tome est de nouveau très centré loups-garous, mais les vampires mettent bien leur grain de sel. Et le fait que la tête d'Anita soit mise à prix et que Edward soit présent met du piquant. Stephan est trop chou dans son rôle de loup soumis, j'ai adoré ce que fait Anita pour lui. On apprend quelques informations sur sa nature de nécromancienne et je comprends sa panique. Je ne sais pas trop quoi penser au sujet du Triumvirat. On verra par la suite.
J'ai fini ce tome à l'aéroport de Narita juste avant de rentrer en Suisse. On peut donc véritablement dire que c'est le dernier livre que j'ai lu au Japon. lol
Extrait début chapitre premier :
"Le plus beau cadavre que j’aie
jamais vu était assis derrière mon bureau.
La chemise blanche de
Jean-Claude scintillait dans la lumière de la lampe, le bouillonnement de
dentelle qui ornait son plastron dépassant par le col de sa veste en velours
noir. Je me tenais derrière lui, dos au mur, les bras croisés sur le ventre, ce
qui mettait ma main droite à une portée raisonnable de mon Browning Hi-Power
dans son holster d’épaule. Je n’avais aucune intention de le braquer sur
Jean-Claude. C’était l’autre vampire qui m’inquiétait."
Editions Milady
576 pages
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