dimanche 5 février 2012

Artemis Fowl, Tome 7

Tome 7 – Le Complexe d’Atlantis
d’Eoin Colfer
★★★★

Résumé du quatrième de couverture :
Et si le génie criminel n’était pas celui que vous croyez !
Le jour de ses quinze ans, Artemis Fowl réunit les représentants du Peuple des Fées au pied d’un glacier en Islande. Il a un Plan pour sauver la planète du réchauffement climatique. Un plan pour lequel il est prêt à investir sa fortune. Trop beau pour être vrai, se disent ses amis. Ce qui les inquiète davantage, c’est Artemis. Serait-il atteint du complexe d’Atlantis ?

Complexe d’Atlantis :
Psychose commune chez les délinquants rongés par un sentiment de culpabilité, diagnostiquée pour la première fois par le Dr Dyp de l’Institut de neuropsychologie d’Atlantide. Le patient peut présenter les symptômes suivants : comportement obsessionnel, paranoïa, délires et, dans des cas extrêmes, trouble de la personnalité multiple.

Mon avis :
- Hmmm, que dire de ce volume. De tous, c’est celui que j’ai le moins aimé. Voilà pourquoi : j’ai trouvé l’histoire assez banale et surtout téléphonée, même si l’humour été aussi présent. J’ai trouvé le comportement psychotique d’Artémis un peu énervant, surtout qu’il est comme cela dès la première page.
- J’ai bien aimé le personnage d’Orion, j’avais espéré qu’il ferait évoluer ou au moins progresser la relation entre Artemis et Holly, mais en fait rien. Ce qui est très dommage vu la scène torride qu’on a eu droit dans le volume 6.
- Et puis le méchant, et bien j’ai trouvé qu’il prenait un peu trop de place, les chapitres le concernant sont assez longs. Je me suis dit que son histoire était peut-être un parallèle avec celle de Holly et Artemis, mais une fois de plus, rien.
- Dommage, c’est toujours normal d’aimer moins certains volumes et j’attends avec impatience le dernier tome. J'attends un final grandiose !

Extrait début du prologue :
"Il était une fois un jeune Irlandais qui avait soif d’apprendre tout ce qu’il est possible de savoir. Il se mit donc à lire livre sur livre jusqu’à ce que son cerveau déborde d’astronomie, de mathématiques, de physique quantique, de poésie romantique, de science médico-légale et d’anthropologie, parmi une centaine d’autres sujets. Mais son livre préféré était un mince volume qu’il n’avait jamais lu par lui-même. C’était un vieil album que son père choisissait souvent de lui lire pour l’aider à s’endormir. Il avait pour titre La Cruche d’Or et racontait l’histoire d’un petit malin avide de richesse qui capturait un farfadet en s’efforçant vainement de lui voler son or."

403 pages

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