mercredi 30 octobre 2013

Les Aventuriers de la Mer, Tome 6

 Tome 6 - L'Eveil des Eaux Dormantes 
de Robin Hobb

Résumé du quatrième de couverture :
Peu avant que le Gouverneur ne débarque à Terrilville avec ses galères chalcédiennes, le Parangon réarmé prend enfin la mer pour accomplir sa mission de sauvetage de la Vivacia avec Brashen, Ambre et Althéa à son bord. Les difficultés qu'ils affrontent sont innombrables. Le capitaine Kennit, dont les ambitions se précisent, voudrait faire de Hiémain son prophète. Tous ignorent que, pendant ce temps, des événements tragiques se déroulent dans leur port d'attache : la ville est attaquée et incendiée. Keffria est obligée de s'enfuir avec ses enfants. Quant à la téméraire Malta, fascinée par la cité des Anciens et attirée par la voix du dragon, elle s'aventure dans la ville souterraine où elle se trouve surprise pas un tremblement de terre...

Mon avis :
Mon dieu, ce tome est plus qu'explosif ! Il se passe tellement de chose de ce volume qu'il m'a presque été impossible de le poser. La majorité des situations se débloquent d'un seul coup et pas forcément de manière positive. 
Pour le Parangon, à part le fait qu'il prend enfin la mer, il ne se déroule pas grand chose. C'est surtout au niveau des autres que les événements se précipitent. J'ai adoré retrouvé Hiémain et sa découverte de l'île des Autres. Mais surtout, je n'arrive toujours pas à cerner les intentions de Kennit. Quel suspense ! Par contre, Vivacia commence un peu à m'ennuyer, alors que Parangon devient de plus en plus intéressant. 
J'aime également de plus en plus Malta que je ne supportais pas au début de la saga. Son petit frère Selden prend également de l'importance dans ce tome. Et j'ai hâte de voir comment va évoluer le couple Reyn / Malta. 
A que du bonheur, je me jette d'entrer sur le tome 7, car la fin du tome 6 ne me laisse pas d'autre choix que de vouloir tout de suite découvrir la suite !

Extrait début du chapitre un :
"Le nœud s'était agrandi. Maulkin semblait en tirer fierté et satisfaction. Shriver était plus partagée. Si l'effectif élargi de serpents qui voyageait désormais avec eux leur assurait une meilleure protection contre les prédateurs, il en résultait qu'il devaient se répartir la nourriture. Elle s'en serait trouvée mieux s'ils avaient été plus nombreux à être doués de sensation mais la plupart de ceux qui suivait le nœud n'étaient que des bêtes sauvages que l'instinct seul poussait à se regrouper."

368 pages

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